Alpha MOS enregistre des ventes en hausse de plus de 54 % en 2021
Contrairement à l’année 2020 où l’Asie avait été le moteur des ventes, 2021 a vu le retour de la croissance en Europe et en Amérique du Nord.
Nouvelle annonce de résultats financiers pour l’année 2021 et nouvelle très belle croissance. Le Français Alpha MOS vient en effet de clore son exercice fiscal sur une progression de 54,3 % de son chiffre d’affaires annuel, à 5,569 millions d’euros.
Contrairement à l’année 2020 où l’Asie avait été le moteur des ventes, 2021 a vu le retour de la croissance en Europe et en Amérique du Nord. C’est ainsi que l’Amérique du Nord a représenté 29 % du chiffre d’affaires, grâce notamment à « un changement de management judicieux » et « un très bonne répartition entre les services (Opex) et la vente de matériels (Capex) dans cette région ». Viennent ensuite l’EMEA et le Japon, chacun représentant 24 % des ventes, puis la Chine avec 23 % des ventes.
Parmi les autres raisons expliquant la progression de son chiffre d’affaires, le Français mentionne la croissance des comptes clients existants avec des commandes répétées chez certains grands comptes, la conquête de nouveau prospects du secteur agroalimentaire, la poursuite des investissements dans le développement de sa gamme de nez électroniques-d’où par exemple le lancement de l’Iris Smart Vision pour le contrôle qualité des produits alimentaires torréfiés.
L’année 2021 s’est par ailleurs traduite, pour Alpha MOS, par la vente de licences d’utilisation de sa base de données en signant un premier accord avec le Japonais Shimadzu en septembre, ainsi que par une levée de fonds d’un montant de 3,05 M€ en octobre. Au début de l’année 2022, le Français a annoncé une coopération avec l’IEEE dans le but de participer à l’établissement de normes internationales pour les appareils de détection des odeurs au début de cette année.
Enfin, les ambitions d’Alpha MOS pour 2022 s’articule, pour son activité Foodtech, autour de « la poursuite de sa stratégie de déploiement des instruments chez les grands industriels de l’agroalimentaire, l’accélération du développement du modèle de vente de services connexes à celle d’instruments, et le renfort du réseau de distribution dans les pays où la société n’est pas présente en direct ».