Flux de travail et durabilité améliorés pour le chromatographe en phase gazeuse
La plate-forme de nouvelle génération GC 2400 de PerkinElmer permet notamment de réduire le temps de manipulation et les erreurs humaines.
La productivité est l’un des enjeux dans le domaine des analyses pharmaceutiques, alimentaires, environnementales et industrielles. « Les laboratoires d’aujourd’hui veulent que leurs flux de travail analytiques demandent moins de temps, d’attention et de ressources », constate Suneet Chadha, vice-présidente et directrice générale des marchés appliqués et agroalimentaires de l’Américain PerkinElmer.
Pour les environnements de laboratoire à haut débit et les applications complexes, les capacités d’échantillonnage automatisées des chromatographes en phase gazeuse permettent de réduire le temps de manipulation et les erreurs humaines.
C’est ce que propose la plate-forme de nouvelle génération GC 2400 de PerkinElmer, en complément de la série Clarus. Cette plate-forme automatisée regroupe un chromatographe en phase gazeuse, un échantillonneur liquide AS 2400, un échantillonneur d’espace de tête et de spectrométrie de masse HS 2400, et un détecteur SQ MS 2400 fonctionnant dans les modes full-scan mass spectra, SIFI et SIM.
On retrouve également le logiciel SimplicityChrom CDS – une nouvelle expérience utilisateur avec icônes et flux de travail (workflow) intégré, conforme 21 CFR Part 11 – , l’application Simplicity Vision – elle permet de visualiser les informations en temps réel, les opérations en cours, les mises à jour du système et l’état des analyses, via la tablette numérique sans fil ou un ordinateur – , ainsi qu’une large gamme de colonnes et de consommables.
Le système de chromatographie en phase gazeuse GC 2400 permet d’accompagner les équipes à simplifier leurs opérations de laboratoire, à obtenir des résultats précis et à effectuer une surveillance plus flexible.
Dans un souci de durabilité et de sécurité, des capteurs intégrés et un mode d’économie de gaz piloté par logiciel réduisent la consommation de gaz de fonctionnement, et prennent en charge les alternatives de gaz porteur telles que le dihydrogène (H2), explique la société qui ne mentionne toutefois pas de spécifications techniques.