Légère baisse des ventes 2022 de la division Process Automation d’ABB
Alors que le chiffre d’affaires 2022 du groupe a progressé de 2 % entre 2021 et 2022, celui de la division Process Automation a reculé de 3 %, à 6,044 milliards de dollars.
L’Helvético-suédois ABB a clos son exercice fiscal 2022 sur une croissance annuelle de 2 % de son chiffre d’affaires, à 29,446 milliards de dollars américains, et une hausse de 9 % sur un an de son EBITA opérationnel, à 4,510 milliards de dollars américains.
Les résultats financiers se répartissent de la manière selon l’activité : des ventes de 14,105 milliards de dollars (+7 % par rapport à 2021) et un EBITA opérationnel de 2,328 milliards de dollars (+10 %) pour la division Electrification, 6,745 milliards de dollars (-3 %) et 1,163 milliards de dollars (-2 %) pour le Motion, 6,044 milliards de dollars (-3 %) et 848 millions de dollars (+6 %) pour la Process Automation et 3,181 milliards de dollars (-4 %) et 340 M$ (-4 %) pour la Robotic & Discrete Automation
Björn Rosengren, CEO d’ABB.
« L’année 2022 a été une année record dans l’histoire récente d’ABB, avec une marge d’EBITA opérationnel de 15,3 %. Je suis heureux de la façon dont les divisions ont géré les défis tels que les contraintes de la chaîne d’approvisionnement, un marché du travail tendu, les blocages liés à la pandémie de Covid-19 en Chine et un environnement un environnement inflationniste élevé », se réjouit Björn Rosengren (voir photographie), CEO d’ABB.
« En ce qui concerne 2023, nous ne prévoyons pas actuellement de recul majeur de la demande, bien que l’environnement inflationniste élevé ajoute de l’incertitude. La croissance des commandes comparables, au moins au 1er semestre, devrait être quelque peu freinée par le niveau très élevé des commandes de l’année dernière, associé à une normalisation des habitudes de commande des clients après une période de pré-commandes en période de tension de la chaîne de valeur. La croissance du chiffre d’affaires devrait être comparable ou supérieure à 5 % », prévoit Björn Rosengren, CEO d’ABB.
