Hach complète son offre de transmetteurs numériques

Le fabricant américain met en avant les avantages en termes d’intégration dans des systèmes d’analyses physico-chimiques existants de ce nouveau transmetteur.

Bénéficier des évolutions en termes de commodité, de précision de mesure et d’efficacité, tout en s’intégrant facilement aux systèmes existants. Tel est l’objectif recherché par l’Américain Hach avec le lancement du transmetteur numérique physico-chimique SC4500. Les industriels sont ainsi capables de mettre à niveau leurs systèmes d’analyse physico-chimique, sans remplacer l’ensemble des ressources.

S’il présente le même format que celui des modèles SC200 et SC4200c – des dimensions de 144 x 144 x 192 mm et une masse de 1,7 kg –, le nouveau transmetteur se distingue par la présence d’un écran TFT couleur tactile 3,5 pouces, associé à un pavé tactile capacitif, au lieu d’un écran LCD à rétroéclairage Led pour le SC200.

Les utilisateurs peuvent visualiser d’une manière optimale les valeurs issues des deux capteurs connectés en entrée (connecteurs SC numériques), parmi 28 modèles différents du constructeur, ainsi que l’état de santé des capteurs physico-chimiques, via le logiciel de diagnostic prédictif intégré. Cette fonctionnalité assure une planification proactive des opérations de maintenance et la réduction du risque d’indisponibilités imprévues.

Autre différence, le transmetteur SC4500 intègre, en plus de 2 sorties relais, un large choix d’options de communication avec 5 sorties analogiques par module – jusqu’à deux modules de sortie peuvent être installés –, des modules Profibus DP, Modbus TCP, Profinet IO et EtherNet/IP. Avec les interfaces LAN, Wi-Fi ou cellulaire (4G), il est possible de connecter le transmetteur en local, à un SCADA ou un automate programmable industriel, ou alors via un accès sécurisé distant, à un cloud.

Les utilisateurs peuvent ainsi mettre en œuvre Claros, le système destiné aux opérations de traitement des rejets industriel et urbains de Hach, pour la gestion facilitée des instruments, des données et des procédés. Une telle solution contribue ainsi à avoir une plus grande confiance dans les données et à améliorer l’efficacité des opérations.